Enquête
- Christine Germond
- 11 mars 2022
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Chez les Romains, être en bonne santé consistait à avoir une bonne hygiène, une bonne alimentation et une médication à base de plantes. La médecine romaine avait aussi une dimension spirituelle et religieuse.

Les thermes
Ce ne sont pas uniquement des bains chauds mais aussi de grands centres où l’on pouvait faire de nombreuses activités.
L’aqueduc acheminait l’eau au caldarium, le bain chaud.
Pour se raffermir la peau, les Romains entraient dans un bain froid, le frigidarium.
La palestre, petit gymnase à ciel ouvert, permettait aux Romains de pratiquer la lutte, la course ou des jeux de balles. Ils pratiquaient ces activités pour transpirer. Ils savaient que suer, puis se laver permettait d’éliminer les toxines du corps.
Ils se débarrassaient ensuite de la sueur grâce au strigile, un petit grattoir en fer ou en ivoire, dans le sudatio, une sorte de sauna.
Pour éviter un choc brutal entre le sudatio à 60° et le bassin froid, les Romains passaient dans l’eau du tepidarium, un bassin d’eau tiède. Les latrines, nos toilettes actuelles, étaient à la disposition de dizaines de milliers de baigneurs.
Les thermes comportaient également des bibliothèques (pour les loisirs et la culture), des gymnases, un stade (pour l’entretien du corps) des jardins (pour se promener et se détendre).

Ils comprenaient une technologie moderne pour l’époque qui permettait d’avoir un grand confort et de maintenir une santé publique.
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